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jeudi, avril 18, 2024

Faire des affaires à l’étranger : ce qu’il faut savoir

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Percer à l’international, c’est le rêve de bon nombre d’hommes d’affaires, car cela permet d’accélérer le développement de l’activité, mais il est particulièrement difficile de se lancer et d’y réussir sans se préparer. Toutefois, ce n’est pas impossible d’ailleurs, plusieurs businessmans ont réussi. Pour faire des affaires à l’étranger, ci-après tout ce qu’il faut savoir.

Une bonne connaissance du pays d’accueil

Avant même de penser à s’exporter dans n’importe quel pays étranger, il faut connaître ses valeurs, son histoire, ses us et coutumes, ses traditions ainsi que ses règles protocolaires. D’un pays à un autre, tout diffère, et il faut s’y adapter. On se détache des à priori ainsi que des idées reçues. Il faut encore connaître la langue locale ou du moins l’anglais. On recommande de maîtriser surtout les bases : les formules de politesse. N’oublions pas les manières, on n’aborde pas une négociation de la même façon d’un pays à un autre. Davantage d’informations sur Place des affaires en France.

Considérer le contexte local

Pour faire des affaires à l’étranger, il faut prendre en compte le contexte local. En effet, notre offre peut être viable sur un marché, mais pas sur un autre. Donc, on conseille de rester prudent avant d’entrer dans n’importe quel autre pays, et surtout, s’il y a déjà des concurrents bien établis. Il faut savoir que certaines nuances culturelles peuvent avoir une incidence sur le succès de cette exportation. L’erreur est de suivre les concurrents sans réaliser une étude de marché.

Mettre à jour l’offre et de la marque

Avant de se lancer à l’international, il faut vérifier si la marque ainsi que l’offre ont besoin de mise à jour. On réfléchit à la façon dont elles seront perçues sur un marché étranger. On considère aussi bien l’aspect verbal que le côté visuel. L’aspect majeur dans l’exportation de l’activité est la différence culturelle, et cela détermine l’issue du projet. Il est indispensable de s’adapter sur plusieurs points : juridiques, commerciaux, financiers et culturels.

Avoir de bonnes connexions locales

Faire des affaires à l’étranger, c’est travailler avec un guide ou traducteur local. Que ce soit l’un ou l’autre, il doit avoir des relations dans le secteur d’activité pour voir les concurrents de près. Un partenaire local peut aider à dénicher de nouveaux réseaux ou canaux de distribution pour l’accélération de la chaîne d’approvisionnement et à nous faire comprendre les attentes des salariés locaux.

Investir à l’étranger légalement

affaires à l'étranger
Crédits : Pixabay

Se positionner sur un marché étranger, c’est y avoir sa propre équipe juridique. Il est crucial que l’entreprise soit conforme aux lois ainsi qu’aux réglementations locales en vigueur. Le conseiller juridique doit avoir de bonnes connaissances sur le sujet. Son soutien sera aussi important pour l’établissement des contrats avec les collaborateurs et les employés locaux.

L’évaluation de la capacité à se lancer à l’étranger

Même si on est conscient de tout ce qui a été abordé dans les paragraphes précédents, il faut s’assurer que l’entreprise soit prête à s’y lancer. On se pose plusieurs questions : est-ce qu’elle peut y accroître sa production, assurer la compétitivité et toujours garantir la qualité ? Est-ce qu’il y a dans le pays d’accueil des ressources humaines pouvant relever le défi de l’exportation et gérer la complexité administrative ? Est-ce qu’elle est assez solide financièrement ? Le diagnostic export semble difficile, mais la CCIR (Chambres de Commerce et d’Industrie Régionales) aide les nouveaux exportateurs.

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